|
« Le dimanche 19 [février], mon frère était bien malade à Paris chez ses enfants. J’y cours et j’assiste à ses dernières heures. Il fait une belle mort, bien chrétienne, entouré de touts les siens. Il y est préparé par le supérieur général des Pères de Sion. C’était une juste. Sa vie a été très digne et très bienfaisante. Nous avons toujours été bien uni. » (NQT XLIV/1922, 42) ... |
|
|
|