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"Je me suis mis de bon cœur à la besogne et je n’éprouve pas le moindre ennui. J’ai l’espoir de faire ici un peu de bien, c’est tout ce que je désirais. Je vois de près les misères de la société dans les confessions, la visite des malades et des écoles. Je tâche d’apporter quelque remède surtout aux misères morales."
Ainsi, non plein d’enthousiasme, mais avec une grande ouverture d’esprit, Dehon affronte en 1871 son ministère et ses devoirs. Il fait face aux exigences pastorales, et c’est ainsi qu’il peut écrire déjà en janvier 1872 à son ami Palustre : "Je me suis mis beaucoup mieux que je ne l’espérais au ministère actif." (Lettre du 8.1.1872) ... |
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